
Philippe Forcioli chantait le pays de l'ami, un poème que je dis le 22 mars à Grabels, Salle de la Gerbe. J'aimerais dire,mais surtout écrire, la poétique de l'ami(e). Car je fais chaque jour l'expérience, grâce à l'ardeur du poétibus et à son besoin des autres,de ce monde de poésie que chaque rencontre m'offre. Gens singuliers ou simples, artistes, rêveurs, hôtes généreux et fous de défis. Tous et toutes - pourvu qu'ils soient vivants - m'entrainent dans une petite ronde de mots et de gestes qui m'enchante. Si je suis censé faire poèmes avec le fourgon, c'est le plus souvent eux qui le font par leur seule présence.
Bientôt, il y aura un lieu, dans le poétibus, pour les photographier.
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